Comment utiliser les unités de temps pour détecter les rushs boursiers? RÉPONSE :
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Si vous tradiez les opportunités en étant certain d’avoir un gros afflux de capitaux derrière vous…
Cela faciliterait-il votre trading ? A quoi ressemblerait vos 100 prochains trades ?
Répondez à ma question en écrivant votre commentaire ci-dessous :
23 Commentaires
bonjour Cédric,
je suis intéressé par la formation proposée, mais: la stratégie développée dans la formation est-elle applicable sur le forex? tu parles de sceeners… sont _ils indispensables et sont ils utilisables sur tous les logiciels de trading (marketscope?)
Bonjour Julien,
la stratégie s’adapte parfaitement au forex mais il vous faudra utiliser prorealtime et son screener si vous surveillez de nombreuses devises et plusieurs unités de temps.
Si vous ne tradez que quelques devises et quelques UT, l’utilisation du screener n’est pas indispensable, l’interface de votre courtier fera l’affaire.
concept intéressant ;à vérifier si cela colle effectivement avec les faits; je suppose que tu l’as effectué= je m’y mets ;cordialement .
Bonjour Bruneau,
effectivement il ne s’agit pas de répandre de belles théories mais surtout de rendre public des outils efficace et qui aideront les traders particuliers (ou professionels).
Bonjour Cédric,
« La naissance d’une grande tendance de bourse sur plusieurs années débute toujours par la naissance d’une tendance sur quelques minutes à peine!»
Mao Tse Toung avait, de son temps, découvert aussi l’effet papillon: « Une grande marche commence toujours par un petit pas! » avait-il dit en entreprenant sa conquête de la Chine de Chang Haï Chek. On connait la suite.
Pour qu’un effet papillon se propage sur 3 unités de temps, quelques soit l’échelle retenue, il faut que le catalyseur à l’origine de l’effet papillon soit assez important et fort pour maintenir la propulsion de cet effet. Et c’est là où je coince… Comment évaluer l’impact d’un catalyseur dans le temps? Et donc, déterminer une échelle de temps qui intègrera 3 UT qui soient exploitables avec un trading adapté aux unités de temps retenues. C’est là où j’attends la suite des vidéos…
Gilbert L.
Bonjour Gilbert,
très belle métaphore.
Le catalyseur de départ n’a pas de réel importance, c’est plutot la résonance entre les investisseurs des différentes UT qui va créer une propagation importante.
Trouver une résonance sur 3UT permet de détecter des situations de rushs potentiels.
bonjour
j attend la suite
cdt
philippe
Oui bien sur, sachant que les plus gros investissent massivement et plus tardivement cela nous laisse une légère avance sur la tendance, merci pour toutes ces videos et conseil .
Bonjour Bertrand,
A bientot pour la dernière vidéo et l’accès à tous les outils de l’effet paillon.
Bonjour Cédric,
Trader des opportunités avec la certitude d’avoir un gros afflux de capitaux derrière soit, évidement ça facilite le trading ! Et les prochains trades seront sans doute plus fructueux ! Après, il faut comprendre et maitriser les stratégies. J’ai investi dans LDM, RDM et entrer au bon moment. Ces méthodes sont intéressantes mais je piétine. Mes positions ne décollent pas. Sans doute le manque d’expérience.
Bonjour Verron,
si vous avez la sensation de piétiner en appliquant correctement les stratégies et en étant suffisamment sélective, c’est plutôt très bon signe :
– vous êtes dans une situation (80% du temps) ou votre compte ne bouge pas, les petits gains compensent les petites pertes
– vous allez vivre cette année, une ou plusieurs séries gagnantes (moins de 20% du temps) qui vous permettront de réaliser la performance annuelle de votre portefeuille.
c’est surement interessant, mais faut-il encore bien comprendre le principe, le détecter et bien l’appliquer
je pense qu’il faudra bien des tentatives pour y arriver – mais avec le temps, la patience et
de la rigueur on doit y arriver
Bonjour Perugini,
en réalité avec les bons outils et si l’on sait exactement quoi regarder, l’apprentissage s’accélère à toute allure.
Encore faut-il respecter les notions enseignées 🙂
Salut Cédric 🙂
Très intéressant. Ce qui m’a amené vers tes formations initialement, c’était le fait que tu mentionne Taleb, Mandelbrot, les fractales et les distributions statistiques non gaussiennes dans ton livre « J’ai testé les meilleures stratégies pour gagner sur les actions » ! Je me suis dit alors, ce gars est sérieux 🙂 Je suis très content de te voir aborder ce sujet des échelles de temps et des vagues d’impulsion dans un de tes nouvelles formations sur les anomalies de marché.
Anecdote de pêcheur à la ligne (désolé pour le hors sujet, mais ce que tu dis dans tes vidéos me rappelle un peu ça) : quand on pêche sur falaises, on regarde **toujours** la mer, on ne lui tourne jamais le dos. On sait que le plus gros danger par temps plus ou moins calme, c’est la lame de fond qui va surgir « de nulle part » et briser dix mètres plus haut que la moyenne (et vous cogner la tête au passage, pour vous noyer dans une mer pourtant calme). Et ce qui est remarquable, c’est que si l’on est attentif à ce que font les vagues, standard, on peut être alerté lorsque la lame de fond arrive : souvent un détail bizarre que les sens « choppent » sans même qu’on en soit encore conscient, du genre les 30 cormorans tranquilles sur le rocher en dessous qui prennent leur envol sans raison apparente, une interruption du bruit du clapotis régulier, la mer qui devient lisse alors qu’il y a de la brise… 9 fois sur dix y’a rien, mais on devient alerte. On regarde la mer à plusieurs échelles : au pied de la falaise, sur 30 mètres, et vers l’horizon. L’une des bases, bien sûr, c’est de toujours imaginer cette vague, au moment ou on se positionne sur les cailloux : si elle arrive sur moi, je fais quoi, je m’accroche où, etc… ( C’est un peu le stop loss du pêcheur 😉 ). Mais le deuxième élément qui peut sauver la vie, c’est que les grosses vagues, comme d’ailleurs les crues en hydrologie, vont presque toujours emprunter le même chemin : d’où, quand on pêche sur falaise ou lieu dangereux, on va toujours voir, de loin bien à l’abri, comment se comportent les vagues les jours de gros temps.
Donc pour moi (réponse à ta question 1), l’ « effet papillon », la naissance des impulsions ou la rupture chaotique, sur les cours de bourse, ça m’intéresse car c’est un truc fondamental que je réutiliserai forcément. Et sur les mille prochains trades (question 2) ? je serai plus à même de me tirer en courant ou en cas d’opportunité, de me positionner correctement avec risque réduit, et avec plus de confiance 😉
A bientôt.
Bonjour Pierre,
j’ai toujours redouté de présenter ce concept à un publique non-initié car la digestion n’est pas aisée,
mais dans la finalité les outils sont simples d’utilisation lorsque l’on sait quoi regarder: la fractale qui induit une résonance sur 3UT.
Excellente petite histoire, belle analogie.
A bientot
la question ne se pose pas évidemment, c’est oui et le plus important c’est de ne pas avoir à se coller des heures devant un écran
Bonjour Philippe,
c’est l’élément le plus important pour une réussite en trading lorsque l’on est un humain « normal ».
Les rares traders qui réussissent en day trading ont des profils psychologiques assez particulier,
ils sont capables d’encaisser plusieurs heures derrière un écran sans que cela ne génère un mal etre (déprime, stress, émotivité).
En qu’humain normal, nous pouvons combattre ce probleme très facilement : en intervenant le soir, après la cloture des bourses, en swing trading.
A l’instar de Gérard… très « confortable » pour rentrer sur une valeur… mais pour en sortir c’est une autre paire de manche… surtout si on est en day-trading… on risque de passer à côté d’une sacrée hausse…
Merci pour cette vidéo
ps > j’utilise souvent ces 3 UT pour des trades MT
Bonjour Laurent,
effectivement la sortie de position est aussi importante que l’entrée, la gestion de la coupe, le trail stop et le R pratiqué.
Sans la maitrise de tous ces concepts, le coktail ne prend pas et le trader se demande pourquoi il ne décolle pas.
Bravo pour votre utilisation des 3UT.
Bonjour Cédric ,
– à la 1ère partie de la question la réponse est forcément « oui »
– pour ce qui est de la 2ème partie il est évident qu’en sachant profiter de cet effet papillon les 100 prochains trades seraient plus fructueux mais encore faut-il avoir les nerfs
pour rester en position et ne pas encaisser trop tôt voire très tôt ses profits.
Ce n’est pas évident quand on débute de laisser courir ses gains .
J’attends la suite ………
Cordialement
Gérard
Bonjour Gérard,
je comprends tout à fait cette difficulté de savoir laisser courrir ses gains et revendre au bon moment.
La meilleure des solutions est de supprimer cette décision en s’en remettant à un plan de trade (exemple : LDM, RDM).
De cette maniere nous sommes assurés que les décisions sont prises avec un avantage mathématiques,
et non à cause d’un désir personnel qui ne colle pas avec la réalité des marchés.
Je me sentirais conforté dans mes trades en DAILY et assurerais de la performance.
Bonjour Denis
c’est exactement le sentiment de confiance avec lequel le trader doit évoluer à long terme.
Sans ce sentiment de sécurité, il est impossible d’obtenir une bonne régularité dans son trading.
Car je rappelle que 80% du temps, nous devons gérer des trades qui ne font pas vraiment décaler notre compte de trading.