Version vidéo (la version article est juste en dessous):
Beaucoup d’élèves sont bien plus riches que leur professeur… (…moi Cédric Froment !)
Ce sera bientôt la quatrième année que j’ouvre l’école LSL.
Son cœur, c’est son groupe privé, avec tous ses élèves.
Ils viennent des quatre coins du monde, de tout âge, de toute pensée, de tout milieu et profession.
Et chaque année, j’observe cette même chose étrange.
Dans ce groupe, certains viennent s’inscrire alors qu’ils sont déjà à l’abri financièrement depuis bien longtemps.
Discrets au milieu des autres élèves, ils sont eux aussi venus apprendre à spéculer et investir, alors qu’ils sont parfois à la tête de fortunes impressionnantes.
Un élève « normal » pourrait poser cette question:
- « Nous sommes tous deux inscrits à LSL, et pourtant tu as déjà tout ce que quelqu’un voudrait… alors que viens-tu faire ici ? »
Et la réponse le surprendrait :
- « Je me suis inscrit parce que toi et moi, nous recherchons en fait la même chose. Bien que nos référentiels soient différents, tu cherches un décalage sur ta situation actuelle… et moi également. »
Et c’est cette même dynamique qui réunit lors de chaque année LSL des personnes différentes, et cherchant un décalage positif sur leur propre référentiel.
Ils cherchent un décalage à leur moyenne, quelque soit cette dernière.
Continuer d’apprendre d’une façon atypique, c’est ce qui qualifie les gens qui vivent 100 vies en une
Car clairement, les fortunes de ce monde ne passent pas leur temps dans les bibliothèques à mémoriser de l’information, ni dans les bureaux de leur entreprise à gérer des petits soucis.
On peut même carrément dire qu’ils sont en dilettante une partie de leur journée ce qui leur permet de multiplier les casquettes et de laisser libre court à leur créativité.
Certains sont à la fois bon musicien, bon golfeur, pilote d’avion, skieur de haut niveau tout en gérant un énorme business.
Quand on rencontre ce genre d’ovni multi-casquettes, on le qualifie souvent de « génie ».
Ce lifestyle peut paraitre insolent.
Mais pourtant, tout est dans la contraction du temps d’apprentissage et d’expérimentation.
Cette notion est devenue primordiale dans notre nouveau paradigme.
La contraction du temps d’apprentissage (de l’ancien paradigme… au nouveau)
Il y a bien longtemps, à l’époque de Léonard de Vinci, un seul homme pouvait encore apprendre toutes les connaissances du monde car elles étaient encore limitées.
Pour acquérir tout ce savoir, le prix à payer était d’y consacrer tout le temps de sa vie.
C’est d’ailleurs sur cet ancien paradigme que repose le modèle d’éducation de nos enfants.
C’est-à-dire qu’on leur bourre le cerveau d’informations inutiles, et on distribue de bonnes notes à ceux qui ont une mémoire de cheval et qui sont obéissants.
Aujourd’hui, la somme des connaissances de l’humanité a tellement explosé que plusieurs vies ne suffiraient plus.
Donc concrètement dans ce nouveau paradigme, un seul homme ne peut avoir accès à tout le savoir du monde.
Du moins, s’il joue avec les règles de la matrice.
Mais alors comment dominer ce nouveau paradigme en déjouant les limites du temps ?
Car rappelons-le, le tour de force de la matrice a été de nous faire croire que l’éducation consistait à collecter des quantités astronomiques d’informations, en allant à l’école.
Pire, l’école étant gratuite, nous avons développé la croyance que la connaissance l’est également.
Pourtant la fameuse minorité de « génies » qui vit dans l’autre paradigme, utilise un hack ultime pour contracter le temps.
Les riches paient cher pour prendre des raccourcis pertinents
Cela leur permet de multiplier leurs expériences de vie et de multiplier les résultats hors du commun.
Par exemple pour apprendre à parler français, la voie conventionnelle nous pousse à mémoriser le dictionnaire, le Bescherelle, et toutes autres règles grammaticales qui vont juste finir par nous dégouter de cette langue.
La voie non conventionnelle va nous apprendre les 100 mots et les 100 phrases les plus utilisés dans le type d’échange que nous souhaitons faire en français (foot, bourse, cuisine, autre…) de manière à être directement en immersion dans la pratique et l’expérience.
Avec cette vitesse d’implémentation, nous allons pouvoir apprendre plusieurs langues en peu de temps et améliorer celle du pays qui nous intéresse le plus.
Le secret n’est donc pas l’apprentissage par la COLLECTE d’informations, mais par l’EXPERIENCE
Vous l’aurez compris, pour hacker le temps, il faut trouver des méthodes pratiques qui parlent à notre cerveau.
Et il faut bannir les méthodes basées sur la collecte d’informations qui nous maintiennent dans l’inaction et dans la perte de temps.
Quand nous avons compris cela, il nous est possible de progresser en « téléchargeant » presque dans notre tête, la méthode que quelqu’un d’autre a préparé pour nous.
En quelques mois d’apprentissage, nous gagnons des années d’expérience.
Et au bout de 10 années de « hacks », nous aurons accumulé presque 100 ans de connaissances !
Donc la réponse à la question concernant « ce qui lie certains élèves fortunés à d’autres qui le sont moins » :
- c’est le fait de vivre dans un paradigme où ils maitrisent la contraction du temps
Et cela passe par un apprentissage soigneusement sélectionné; et en aucun cas par du bourrage de crâne avec des quantités d’informations impraticables.
Je le répète souvent mais la seule chose qui nous sépare d’un accident positif de richesse, c’est le temps
« Plus nous sommes capables de contracter ce temps, plus nous planterons des graines à fort potentiel sur notre chemin »
… et
« plus nous rencontrerons des résultats hors normes au cours de notre vie ».
Comprendre le « price to action » chez l’humain
La gratuité de notre système éducatif nous inculque un biais : nous n’accordons pas de valeur à une information offerte.
Et il en va de même avec une formation.
Un contenu librement accessible n’amène que peu d’implication de notre part.
Au contraire, une formation que nous achetons à une bonne valeur, appellera bien plus notre engagement dans l’apprentissage.
Par exemple j’ai offert plusieurs places de mon école LSL à des amis très proches. Résultat ?
Pas UN SEUL n’a suivi le programme plus de 2 mois.
S’ils avaient payé, ils seraient allés bien plus loin.
Cette expérience déroutante m’a fait comprendre que parfois le plus beau cadeau c’est de ne pas l’offrir !
C’est d’ailleurs sur ce même levier mental que les psychologues insistent pour que leurs patients payent en espèce chaque séance.
Pour que la séance qu’ils viennent de réaliser ait une valeur concrète et visible.
Cela n’a évidemment rien à voir avec leur déclaration fiscale…
Blague à part, la vraie valeur d’une formation vient de son actionnabilité et du prix que l’on paie pour être engagé dedans.
Et dans notre cas présent, je laisse la parole aux témoignages des élèves de l’école, en libre consultation sur notre livre d’or dans le lien en descriptif de cette vidéo.
Voici quelques témoignages d’élèves à propos du prix de l’école de bourse LSL – Le spéculateur libre (pour lire plus de 300 témoignages, c’est sur cette page)
Avis sur le Spéculateur Libre – Retour d’élève LSL 3.0 – Diane, 48 ans
Retour d’élève LSL 3.0 – Mike, 47 ans, Développeur Web
Les inscriptions à l’école de bourse LSL – Le Spéculateur Libre ouvrent pour la 4ème année début septembre
Pour rejoindre la promo LSL 4.0, ne loupez pas les inscriptions en laissant votre contact email sur cette page.
A bientôt
Cédric Froment
2 Commentaires
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J’ai appris et je continurer d’apprendre je connais une bonne centaines de métiers mais celui là c’est m’on favori m’on avenir
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Et vu que tu as un excellent etat d’esprit, si en plus tu as la passion des marchés, dans le temps au fil des années avec ta marge de progression tu devrais t’éclater dans les bull market. Merci pour cette année que l’on a partagé avec toi et tant d’autre, chaque promo de l’école est enrichissante pour nous également car chaque élève est différent et amène sa pierre à l’édifice
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