Indice Dow Jones – Ca y est ! Top départ du nouveau Bull Market

La dure réalité du spéculateur ?

Il nous aura fallu attendre 1an et demi à « ne quasiment rien faire ».

Pourquoi si peu de gens gagnent en bourse ?

Car 95% ne sont pas là pour les bonnes raisons.

Ils veulent que ça bouge, se sentir en vie, et faire régulièrement rentrer les soussous sur le compte.

J’aurais adoré que cela soit possible.

Mais ce n’est pas la réalité de la distribution du capitalisme.

Vous allez me répondre :

« Ok Cédric, il suffit JUSTE d’apprendre les bonnes règles du jeu et le tour est joué ».

Oui sauf que…

Nos modèles mentaux (issus de notre éducation) sont tellement ancrés en nous qu’il est extrêmement difficile de s’en défaire.

Le boursicoteur « normal » applique ses ATTENTES personnelles sur un monde boursier qui ne peut pas y répondre.

Et ces attentes sont celles que le monde éducatif nous a inculqué :

• Le plus tu as raisons, et le plus tu auras de bons points. C’est faux en bourse, vous pouvez gagner 90% de vos trades et finir ruiné.
• Si tu travailles tous les jours, tu recevras une paie chaque mois. C’est faux en bourse, il y a des cycles de liquidité.
• Si tu travailles plus, tu gagneras plus. Faux en bourse, il faut « juste » être présent au bon moment. Mais aussi savoir rester sur la touche le reste du temps.
• Si tu es plus intelligent et avec un meilleur réseau, ta vie sera plus riche. La bourse se fiche de votre QI ou de votre carnet d’adresses.
• Etc…

Voilà pourquoi la spéculation est si facile et si difficile en même temps.

Le coté facile c’est créer un écosysteme peu invasif (je vais vous l’enseigner dans mon école de bourse LSL).

Le coté difficile c’est de recalibrer notre vision du monde sur la réalité des marchés financiers. Et cela prend plusieurs mois dans le cas où vous êtes bien accompagné.

Bon visionnage
Cedric Froment

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